• timeline3

    Le jour de l'examen l'élève peut être stressé, les questions peuvent lui sembler tout à coup plus compliquées et de ce fait il peut rater le test du code de la route.. Une fois, deux fois, peut être même trois fois. Mais pour arriver au 110ème échec, c'est quand même étrange !

    Le Daily Mail qui publie le classement des pires élèves des écoles de conduite, raconte l'histoire de cette habitante du sud-est de Londres qui a raté 110 fois l’examen du code de la route !
    Les journalistes ont commencé à s’intéresser à elle depuis longtemps, quand ils ont appris qu’elle avait raté l’examen pas mal de fois. Son aventure réjouit les rédacteurs d’informations insolites !
    L’identité de la jeune femme n’a pas été communiquée par le quotidien britannique. On sait juste qu’elle a dépensé un total de 3 410 livres, soit 4 284 euros, pour tenter de franchir la barre fatidique des «cinq fautes»…
    La persévérance devrait payer. Cette jeune femme pourrait en témoigner à condition qu'elle ait son permis de conduire au bout de la... xxxx fois, peut être... !

    La Vie éco
     


  • police japon

    La police japonaise sait parfois être patiente: elle a effectué une soixantaine de visites au domicile d'une femme avant de l'arrêter pour avoir appelé le numéro d'urgence plus de 15.000 fois en six mois! Et pour rien.

    Après avoir tenté de la convaincre de cesser de téléphoner, la police de Sakai, une ville de la préfecture d'Osaka (ouest), s'est résolue à interpeller Tomomi Monmae, une chômeuse de 44 ans, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police.

    "Une fois, elle a fait le numéro d'urgence 927 fois en une seule journée, c'était le 30 juillet! A chaque appel, elle n'inventait même pas une histoire pour faire venir la police, elle disait seulement n'importe quoi, tout ce qui lui passait par la tête".

    "Je me demande tout simplement si elle ne se sentait pas seule", s'interroge cet agent selon lequel elle n'a pourtant pas l'air de souffrir d'une maladie mentale.

     

    Afp


  • islande

    La police islandaise a été obligée, pour la première fois de son histoire, lundi, de tirer sur un homme, qui en est mort. L'incident est «sans précédent» en Islande, a déclaré lors d'une conférence de presse à Reykjavik le directeur national de la police, Haraldur Johannessen. Ce pays de 322'000 habitants connaît l'une des criminalités les plus faibles au monde, et ses policiers interviennent rarement armés.

    Forcené maîtrisé

    La victime est un forcené d'un peu moins d'une soixantaine d'années, qui pour une raison inconnue s'est mis à tirer des coups de feu avec un fusil de chasse depuis l'appartement où il vivait seul à Reykjavik, vers 3h (3h GMT) dans la nuit de dimanche à lundi.
    Après avoir évacué l'immeuble, la police a tenté en vain d'établir un contact avec lui, puis a lancé des grenades au gaz à travers ses fenêtres afin de neutraliser l'individu. «Cela n'a pas marché et l'homme a commencé à tirer à travers les fenêtres de son appartement», a rapporté le directeur de la police de la capitale, Stefan Eiriksson.

    Intervention spéciale

    Une équipe d'intervention spécialisée a pénétré dans l'appartement vers 6h. Elle a été accueillie par de nouveaux tirs qui se sont fichés dans le casque d'un policier et dans le gilet pare-balles d'un autre. Ces policiers ont répliqué et touché l'homme, qui a succombé à ses blessures à l'hôpital dans la matinée. «La police regrette cet incident et présente ses condoléances à la famille», a déclaré M. Johannessen. Une enquête a été ouverte pour déterminer les raisons pour lesquelles le forcené a tiré, et entre autres était sous l'influence de l'alcool ou de stupéfiants.

     

    (ats)


  • Un abri anti-atomique(Reuters) - Ce devait être l'assurance vie des dirigeants britanniques en cas de bombardement nucléaire, mais aujourd'hui le bunker a des allures de machine à remonter le temps dont le compteur serait bloqué en 1952, date de sa construction.

    Enfoui profondément dans le sous-sol de l'Essex, à l'est de Londres, l'abri anti-atomique "LimeBuried" est désormais une attraction touristique.

    Cette relique de la Guerre Froide conçue pour recevoir 600 personnes est équipée du dernier cri technologique de l'époque. Les amateurs d'objets "rétrofuturistes" s'arracheraient aujourd'hui ces téléphones à cadran tournant et autres téléscripteurs ou ordinateurs aux écrans verts.

    On y trouve une salle d'opération chirurgicale qui semble prête à accueillir son premier patient, et même un studio de radio. A la fin de la visite, des repas préparés à l'aide du matériel originel sont servis dans la cantine de l'abri.

    Mike Parry, propriétaire du terrain, a racheté l'abri aux pouvoirs publics. "Nous cultivons 800 hectares au-dessus et nous le faisions déjà pour préserver le secret", dit-il.

    L'entretien annuel de ces installations, qui ont demandé un investissement initial de dix millions de livres -coquette somme pour l'époque-, représentait selon lui trois millions et demi d'euros, c'est pourquoi elles ont été mises hors service.

    "Nous en avons fait une attraction touristique parce que nous pensions qu'il était préférable de canaliser un peu le public au beau milieu de la ferme", poursuit-il.

    Lorsqu'ils émergent du tunnel de 110 m qui permet d'accéder à l'abri, les visiteurs semblent ravis de sa décision, à moins que ce ne soit le soulagement, après la claustrophobie ressentie à l'intérieur.

     

    reuters


  • dico-oxfordEn dépit des efforts louables de Miley Cyrus, le mot de l'année dans le monde anglophone, pour les dictionnaires Oxford, n'est pas le "twerk", danse très suggestive popularisée cet été par la chanteuse lors des MTV Video Music Awards, mais le "selfie", un autoportrait réalisé au moyen d'un smartphone ou d'une webcam.

    D'après les analyses statistiques de l'éditeur, l'usage de ce terme a connu en un an une croissance de l'ordre de 17.000%...

    Le mot, poursuivent les dictionnaires Oxford dans un communiqué publié mardi, "est passé du rang de mot à la mode sur les réseaux sociaux à celui d'abréviation passée dans le langage courant".

    "Selfie", dont la première apparition remonterait à 2002 sur un forum en ligne australien, a plusieurs déclinaisons: "helfie" (photo de ses cheveux), "belfie" (photo de son postérieur) ou encore "drelfie" (autoportrait en état d'ivresse).

    reuters





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