Les habitants de Tokyo seraient-ils des gens plus épuisés que la moyenne? C'est la question que l'on pourrait se poser en découvrant cette curieuse série d'images qui voit les Tokyoïtes s'endormir dans la rue à peu près à tous les endroits possibles et imaginables.

Vivre à Tokyo s'avèrerait-il trop épuisant ? C'est la question que l'on est en droit de se poser lorsque l'on découvre le travail photographique de l'artiste Adrian Storey. Intitulée Let the Poets Cry Themselves to Sleep, cette série de photographies étonnantes nous donne l'occasion d'aller à la rencontre d'étranges habitants de la ville de Tokyo qui paraissent comme pris tout à coup d'une envie soudaine de dormir. Ceux-ci parviennent en effet à s'assoupir à peu près partout pour s'adonner à un petit somme réparateur.

Sur un banc, en bas d'un escalier, dans une jardinière pleine de fleurs ou même carrément sur le sol, ces Tokyoïtes semblent faire preuve d'une imagination sans limite pour réaliser une petite sieste salvatrice. Bien sûr, on se posera tout de même la question de savoir s'il ne s'agit pas là plutôt d'une brillante mise en scène plutôt que d'un réel phénomène public, mais avouez tout de même qu'au final, fake ou pas, ces photos ont de quoi surprendre.

La société israélienne Lexifone, fournisseur d'un système de traduction automatique des communications téléphoniques, prévoit de multiplier ses ventes par plus de trois chaque année pendant plusieurs années, a déclaré son dirigeant.

Lexifone, dont le service est opérationnel depuis quelques semaines, peut traduire en temps réel les appels passés dans plus de 100 pays en 15 langues et dialectes.

"Notre projet initial visait une croissance annuelle de 200%", a déclaré à Reuters le fondateur et directeur général de l'entreprise, Ike Sagie. "Mais au vu de l'accueil rencontré par notre technologie sur le marché, je pense que nous avons un potentiel de croissance supérieur à cela."

Lexifone prévoyait initialement un chiffre d'affaires d'un million de dollars pour sa première année d'exploitation. Son fondateur estime désormais que ce chiffre sera nettement plus élevé, ce qui devrait permettre à Lexifone d'atteindre le point d'équilibre dès la première année.

"Avec ce produit, nous changeons la manière dont les gens communiquent. Il ne s'agit plus de technologie, mais de personnes", a ajouté Ike Sagie, un expert en linguistique informatique qui a travaillé pour IBM Research Labs.

Lexifone collabore déjà avec les opérateurs de télécommunications britannique et espagnol BT Group et Telefonica pour proposer son service à leurs clients. Des discussions sont en cours aux Etats-Unis et au Mexique.

Le groupe israélien achète aux opérateurs des minutes de communications de sorte que les clients n'aient à payer qu'une fois pour utiliser son service.

AUCUNE CONNEXION INTERNET

Pour utiliser le service, il faut composer un numéro de téléphone fourni par Lexifone. Ni connexion internet ni logiciel ne sont nécessaires.

L'utilisateur prononce alors une phrase dans la langue de son choix, qui est traduite et transmise à son interlocuteur à l'autre bout du fil. Il est même possible de vérifier que la traduction a été bien faite.

Selon Lexifone, la traduction est fiable à près de 100% pour la langue des affaires. Pour des conversations personnelles, émaillées de mots d'argot, le résultat sera évidemment moins probant, reconnaît-elle, mais un système d'apprentissage permet d'améliorer progressivement la qualité de la traduction.

Les tarifs, appels inclus, vont de 25 à 40 cents la minute pour l'achat d'une carte prépayée de 10 dollars. Pour un abonnement mensuel de 20 à 200 dollars, la minute est facturée entre 15 et 20 cents.

Selon le cabinet Common Sense Advisory, le marché mondial de la traduction automatique externalisée atteindra 33,5 milliards de dollars en 2012.

Lexifone estime que sa technologie pourrait aussi intéresser les centres d'appels et les réceptions des hôtels.

Un Thaïlandais qui élevait clandestinement six tigres dans un immeuble de la banlieue de Bangkok a été arrêté lundi dans le cadre du démantèlement d'un trafic de ces grands fauves à l'échelle nationale.

La police de l'environnement, prévenue par un informateur, a découvert quatre tigres adultes et deux jeunes adultes dans une cage rouillée placée sur le toit d'un immeuble de quatre niveaux dans la province de Pathum Thani.

Le jeune homme de 26 ans, qui a déclaré ne posséder d'autorisation que pour élever deux animaux dans l'appartement, a été accusé de détention illégale d'animaux sauvages protégés. L'enquête a montré que l'appartement servait de plaque tournante au marché noir de peau, dents et divers organes de tigres en Thaïlande.

Exercice insolite pour les militaires du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie de Montbard : l’hélitreuillage. Une première pour ces hommes.

Jeudi après-midi, les habitants de Touillon et des alentours ont dû être intrigués par les incessants ­allers-retours d’un hélicoptère de la gendarmerie. Il ne s’agissait pas là d’une intervention des militaires mais d’un exercice d’hélitreuillage, suivi par onze hommes du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig) de la compagnie de Montbard. L’hélitreuillage est l’une des technicités pouvant être utilisée par le Psig, à l’instar du tir ou de la maîtrise d’individu.

Pour les former, les chefs Pauchard et Cornilleau, ­respectivement pilote et mécanicien de bord, du Groupe des formations aériennes de la gendarmerie (GFAG). Après avoir présenté le matériel et donné les consignes de sécurité, les hommes ont ­appréhendé le treuillage à ­travers un exercice dit du “yo-yo”. À tour de rôle, les militaires étaient treuillés ­jusqu’à l’hélicoptère, stationné à environ 20 mètres de hauteur, avant d’être redescendus au sol.

À 40 mètres de hauteur, en mouvement

Si cet exercice leur permettait de se familiariser avec la technique, les choses sont devenues rapidement concrètes avec un exercice plus opérationnel. Équipés d’une tenue d’intervention pesant près de 25 kg, les militaires étaient à nouveau treuillés jusque dans l’hélicoptère, situé cette fois-ci à 40 mètres de hauteur. Un exercice d’autant plus ­impressionnant que l’hélicoptère était en mouvement tout le temps de la manœuvre.

Après ces exercices, un débriefing a eu lieu en présence du capitaine Spelthahn, commandant de la compagnie de gendarmerie de Montbard. Et à voir l’expression sur les visages, nul doute que l’exercice a été apprécié.

Afp

Les éléments de la Gendarmerie Royale de Tanger ont procédé récemment à la saisie d'une importante quantité de cigarettes de contrebande, d'une valeur estimée à 250.000 DH.

Les éléments de la Gendarmerie Royale ont intercepté à hauteur de l'embranchement reliant l'autoroute N 5 à la Route Nationale N 1, à 12 km au sud de Tanger, une voiture légère transportant 12.044 paquets de cigarettes de différentes marques.

Un mis en cause a été présenté à la justice, tandis que quatre autres, en fuite, sont activement recherchés.

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