• destruction drogues

    Rabat - Le ministre de l’Intérieur, Mohamed Hassad, a annoncé, mardi à Rabat, une augmentation de 40 % des saisies de cannabis en 2013.

    En réponse à une question du groupe istiqlalien de l’unité et de l’égalitarisme à la Chambre des représentants, le ministre a indiqué que les efforts en matière de sensibilisation à l’importance des cultures de substitution ont contribué à une réduction de 40 % des superficies cultivées en cannabis au cours des dernières années.

    “Il n’y a pas de solution miracle pour éradiquer la culture de cannabis”, a relevé le ministre, en soulignant la nécessité de combattre, en premier lieu, les trafiquants de drogue.

    Soulignant la disposition du ministère de tutelle à prendre part à tous les dialogues visant à trouver une solution à ce fléau, M. Hassad a relevé que le plus grand défi réside dans la lutte contre le trafic des pilules psychotropes. Près de 414.000 pilules psychotropes ont été saisies au courant de l’année, a-t-il ajouté.

     

    MAP


  • RAM

    La Royal Air Maroc (RAM) a annoncé de nouvelles mesures de sécurité, après la décision des autorités marocaines d’appliquer, à partir du 15 novembre dernier, de nouvelles restrictions concernant les liquides, aérosols et gels, transportés à bord, au départ de tous les aéroports marocains.

    Dans un communiqué, la compagnie aérienne précise que «conformément aux nouvelles dispositions du ministère de l’équipement, du transport et de la logistique, les voyageurs ne sont plus autorisés à transporter dans leurs bagages à main les liquides, les gaz comprimés et les gels à moins qu’ils soient en petites quantités (100 ml maximum par produit), ou placés dans un sac en plastique transparent refermable (type sac de congélation) d’un volume maximal d’un litre».

    «Le sac, explique la RAM, doit être fermé et les articles doivent rentrer facilement dedans», notant qu’un seul sac en plastique est autorisé par passager. Ces nouvelles procédures, comme le souligne le ministère de l’équipement, du transport et de la logistique, «rentrent dans le cadre du système de la sûreté et de la sécurité de l’aviation civile et sa protection contre tous les actes d’intervention non autorisés».

     

    aujourdhui.ma


  • gendarmerie royale au maroc

    La gendarmerie royale joue un grand rôle en matière de sécurité à l'échelle nationale. Elle a de nombreuses missions spécifiques.
    La gendarmerie royale au Maroc est considérée comme la première armée dans le royaume. A l'Académie royale militaire de Méknès, (ARM), les élèves officiers, classés premiers dans leur promotion, sont affectés directement à la gendarmerie royale. Les sous-officiers, quant à eux, sont formés dans des écoles dépendant de leur état-major général, à Ain Harrouda et Marrakech. Il s'agit de formations solides qui permettent à ces gendarmes, selon les spécialités, d'assurer leurs fonctions dans les règles de l'art. Dans le monde rural, les brigades de la gendarmerie, assurent le rôle de la police dans les périmètres urbains.
    Ces brigades dépendent d'un commandement régional qu'on trouve dans toutes les villes. En plus de leur tâche quotidienne dans la région, ils installent des barrages sur les routes principales dans le périmètre qui entre dans leur compétence, pour le contrôle de routine des passagers. Ces barrages ont permis d'appréhender des candidats à l'immigration clandestine et des trafiquants de drogue, à plusieurs reprises. Dans chaque ville, la gendarmerie dispose d'une cellule efficace en matière de police judiciaire.
    Elle intervient pour élucider les affaires qui s'inscrivent dans ses prérogatives. Elle prend en charge des dossiers plus complexes concernant notamment certains secteurs bien définis.
    A l'échelle nationale, la gendarmerie royale joue un grand rôle en matière de sécurité et de stabilité de l'Etat.
    Le général de corps d'armée, Hosni Benslimane, patron de la gendarmerie royale, depuis sa nomination aux commandes de cette institution, ne ménage aucun effort en vue de moderniser les outils de travail et d'améliorer les conditions de la famille de la gendarmerie royale.

     

    Aujourdhui.ma


  • Group-photo-Amman-1

    Le Roi Juan Carlos 1er d'Espagne a reçu, mardi au Palais de la Zarzuela à Madrid, les membres de l'Association des forces de Gendarmeries européennes et méditerranéennes (FIEP), à l’occasion de la tenue de leur réunion annuelle dans la capitale espagnole.

    La FIEP avait été créée en 1993 lors d'une réunion des directeurs et commandants généraux des gendarmeries française, italienne et espagnole. En 1996, elle s’est vue renforcée par l'adhésion de la garde nationale républicaine portugaise.

    Depuis lors, ont intégré cette association, les gendarmeries de Turquie, des Pays-Bas, du Maroc, de Roumanie et de Jordanie, en tant que membres à part entière, ainsi que celles d'Argentine et du Chili, en tant que membres associés, et ensuite celle du Qatar, en tant qu'observateur.

    La FIEP a pour but de promouvoir la coopération entre les institutions adhérentes et de développer les échanges d'informations et d'expériences entre les gendarmeries de ces différents pays.

    La Garde civile espagnole, qui assurait la présidence tournante de cette association depuis octobre 2012, passera la relève mardi à l’Italie, lors du sommet de la FIEP qui se tient au siège de la direction générale de la Garde civile à Madrid.

    A rappeler que la Gendarmerie royale marocaine avait assuré en 2011 la présidence tournante de la FIEP.

    Le dernier sommet de cette Association s’était tenu dans la ville portugaise de Sintra en octobre de 2012.

    Map


  • stand_de_la_gendarmerie_royale-m1
     
    Les expositions des services nationaux militaires et de sécurité, organisées à l’occasion de la 6ème édition du Salon du cheval d’El Jadida, ont mis en avant, cinq jours durant, le rôle important et historique du cheval dans les activités de maintien de l’ordre et de défense de l’intégrité territoriale.

    Parmi les expositions les plus visitées, est celle de la Garde Royale, organisée sur Hautes instructions de SM le Roi, Chef Suprême et chef d’Etat-major Général des Forces armées royales, met en exergue un héritage équestre et militaire glorieux, vieux de 12 siècles.

    Intitulée +la Garde Royale : mémoire et rayonnement+, l’exposition de la Garde royale, et particulièrement de sa cavalerie, est tenue dans le but de promouvoir et informer le grand public sur les particularité et les missions de l’une des plus anciennes unités militaires au monde, dont l’histoire est aussi ancienne, riche, et diversifiée que celle du Royaume chérifien.

    Fière de son histoire jalonnée d’épopées, la Garde royale, qui a subi nombre de mutations tout au long de son histoire, notamment durant les époques des Almoravides, Almohades, Mérinides et Saâdiens, a connu de profondes changements au début du 20è siècle aux niveaux des tenues et des installations sans pour autant toucher l’essence de l’unité qui s’est vue conférer une place de choix au sein des Forces armées royales.

    Imbue de son dévouement et de son attachement éprouvé au service de la monarchie, la Garde Royale s’emploie avec fierté à accomplir sa mission prestigieuse de garde et des honneurs, en sus de sa présence dans la célébration des fêtes nationales et de la cérémonie d’allégeance.

    "Baptisée Garde Royale depuis 1956 – auparavant appelé Garde Chérifienne -, cette unité, dont les couleurs et la tenue sont restées les mêmes depuis 1873, telles qu’elles ont été définies sous le règne d’El Hassan 1er, est connu de par le monde du fait que sa cavalerie et son infanterie étaient toujours sollicitées pour prendre part à des manifestations internationales de renom", a indiqué à la MAP, le capitaine Chebli Thami.

    La Garde Royale, qui se compose des unités de la cavalerie, épine dorsale d’une formation militaire millénaire et acteur majeur dans la perpétuation des traditions équestres nationales, de l’infanterie et des troupes de musique, a toujours été témoin du lancement des grands chantiers par SM le Roi, a-t-il ajouté, notant que la Garde royale accorde un intérêt tout particulier au cheval.

    L’élevage est placé au centre des préoccupations de la Garde royale, notamment l’élevage des chevaux Anglo-espano-marocains, barbe et arabe-barbe, tout comme les différents métiers du cheval, a relevé M. Chebli, responsable du stand de la Garde Royale.

    La Gendarmerie royale, fidèle exposant du Salon dont il n'avait pas raté la moindre édition, a renouvelé le contact cette année aussi avec un stand qui retrace l'histoire de cette force publique et met en avant les avancées palpables de sa cavalerie.

    Créé en 2000, le groupe d'escadron cavalerie de la gendarmerie royale remplit plusieurs mission inhérentes à l'assistance et au sauvetage, notamment dans les milieux à accessibilité difficile, voire inaccessibles aux véhicules comme les montagnes, les forêts et les zones boisées.

    Outre les patrouilles au niveau des plages et des sites touristiques qui bordent de vacanciers durant la saison estivale, les unités de cavalerie de la Gendarmerie Royale se sont illustrées dans les différentes manifestations équestres en l'occurrence les concours de saut d'obstacles.

    Le stand de la Gendarmerie Royale a mis en avant, cinq jours durant le Salon, les différentes activités de ces services de sécurité, dont la création remonte à 1957, comme il a mis en évidence les efforts déployés à tous les niveaux pour hisser le niveau de sa cavalerie, constituer essentiellement de chevaux arabes barbes.

    Dans un stand juxtaposé, la direction générale de la sureté nationale (DGSN ) met en avant le rôle important que joue le cheval dans les activités de maintien de l’ordre, mais surtout l’impact significatif de la création en 2010 de l’école de cavalerie de la DGSN, qui a présenté de formidables parades à l’occasion de cette 6è édition du Salon du cheval.

    Dans une déclaration à la MAP, le commissaire divisionnaire, directeur de l’école de cavalerie de la DGSN, Abdelkarim Lahrarti s’est dit satisfait du succès qu’a connu l’exposition de la DGSN de par le nombre important des visiteurs et la brillante prestation de la cavalerie.

    "Malgré que la première promotion de l’école de la DGSN ne date que d’il y a, à peine, deux ans, la cavalerie a fait ses épreuves aussi bien dans les compétitions équestres que dans les opérations de maintien de l’ordre", s’est-il félicité. Présentes également parmi les exposants de cette édition 2013, les Forces auxiliaires, dont la mission principale consiste en le maintien de la sécurité publique, la défense de l’intégrité territoriale et la lutte contre l’immigration clandestine, ont souligné, via ateliers et expositions, le rôle prépondérant du cheval dans ces opérations, particulièrement dans les zones inaccessibles aux véhicules.

    Au niveau des plages et des zones boisées, les barrages et les sites touristiques comme au niveau des forêts, le cheval s’avère incontournable pour l’accomplissement des missions des Forces auxiliaires, dont les agents suivent, durant 3 ans, une formation spécialisée de sous officier cavalier, infirmier vétérinaire et maréchal ferrant au sein de l’école royale de cavalerie des forces armées royales.

     

    MAP





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