• Swopera

    Swopera est un nouveau concept imaginé par Buzzistic qui permet à chacun de se procurer des produits du monde entier. Par quel moyen ? Simplement en mettant en relation les internautes et les voyageurs.

    Swopera est un service francophone gratuit, doté d'un fonctionnement malin : profiter des voyages des internautes pour commander des marchandises authentiques.

    Un système d'offres et de demandes
    Pour cela, il suffit de déposer une annonce sur le site en précisant la denrée qui fait l'objet de votre convoitise. Parallèlement, les autres utilisateurs, sur le point de décoller pour une région du globe, peuvent vous proposer de ramener ce que vous souhaitez.
    Prenez ensuite contact, et le tour est joué ! Vous pourrez bientôt goûter à ce produit typiquement local, introuvable dans vos supermarchés, et faire profiter vos amis.

    Swopera est un espace de découverte, social et culturel, qui offre de nombreux avantages. Vous vous acquittez des frais de port, et d'une certaine façon, vous participez aux aventures touristiques de chacun.

    Le site Swopera


  • pc ancien

    Certains signes ne trompent pas : il y aura cette année deux fois plus de smartphones vendus dans le monde que d'ordinateurs. La fin d'un règne.

    La fin est proche pour le PC. L'ordinateur a-t-il entamé sa longue agonie, poignardé par les smartphones et tablettes ? "L'ère post-PC a commencé [et] ce n'est pas une surprise !", explique le site spécialisé All Things Digital.
    Le point de non-retour a été atteint au deuxième semestre de 2012, affirme l'agence IHS : 49% des cartes mémoires produites étaient destinées aux PC. L'étude, publiée le 17 septembre, estime qu'"à la fin de l'année 2013, les ordinateurs n'absorberont que 42,8% de la production de cartes mémoire RAM [D-RAM en anglais, NLDR]".
    L'hégémonie des ordinateurs dans la consommation des cartes mémoires datait des années 1980. Aujourd'hui, le déclin semble inévitable. Pour Alain Crozier, le patron de Microsoft France, aucun doute n'est possible : "Nous entrons dans une nouvelle ère. Notre monde est en transformation, avec une multitude d'écrans utilisés pour accéder à nos services en ligne préférés."
    La prédiction de Steve Jobs
    Ce n'est pas la première fois que la fin de la domination des ordinateurs est annoncée. Déjà en 2010, Steve Jobs, co-fondateur d'Apple, prophétisait le début d'"une nouvelle ère" à l'occasion de la présentation de l'iPad : "Quand nous étions une nation agraire, toutes les voitures étaient des camions. Mais quand il y a eu un exode vers les centres urbains, les gens ont commencé à avoir besoin de voitures. Les PC auront le même avenir que les camions."
    Selon Steve Jobs, de moins en moins de personnes ont besoin d'ordinateurs. "Et cette transformation va rendre certaines personnes mal à l'aise." Venant de l'homme qui a révolutionné la façon dont l'informatique imprègne désormais nos vies au quotidien, entre ordinateurs, musique et téléphone, cette annonce sonnait comme une oraison funèbre.
    Deux fois plus de smartphones vendus que d'ordinateurs en 2012
    Mais selon l'étude d'IHS, ce ne sont pas les tablettes et les smartphones qui consomment l'autre majorité des cartes mémoires produites. La part des smartphones est de 13% et les tablettes de 2,7%. Le reste des cartes mémoires, soit 34,3%, est absorbé par les serveurs ou encore les super-ordinateurs. En 2013, près de 23% des cartes RAM devraient être destinées aux smartphones et aux tablettes.
    Mais le jugement est sans appel pour Clifford Leimbach, analyste d'IHS : "Les PC ne génèrent plus le type de croissance et la part de marché écrasante qui permettent de piloter la demande, les prix et l'orientation technologique dans ce secteur."
    Une autre étude vient étayer l'analyse d'IHS. Selon In-Stat, la majorité des habitants des Etats-Unis posséderont un téléphone multifonctions ou une tablette numérique d'ici 2015, certains possèderont même les deux. IHS s'attend d'ailleurs à ce que 655 millions de smartphones soient vendus dans le monde en 2012, ce qui équivaut à près de deux fois le nombre de PC vendus l'an dernier.
    Quand Hewlett-Packard abandonne le PC
    Au-delà des chiffres, il suffit d'observer les choix stratégiques des géants de l'informatique pour comprendre que beaucoup ont anticipé l'ère post-PC.
    Hewlett-Packard, premier fabricant au monde de PC, a annoncé dès la mi-2011 son retrait de ce secteur informatique. "Nous avons tendance à parler beaucoup de 'l'ère post-PC' mais il est évident qu'avec l'annonce d'HP, nous sommes plus près que jamais de cette réalité", déclarait alors le spécialiste des technologies Carmi Levy. "Quand un participant de l'âge d'or du matériel informatique délaisse le secteur sur lequel il s'est construit, on peut aisément conclure que le point de non-retour a été officiellement atteint."
    Toutefois, pour Sarah Rotman Epps, consultante chez Forrester Research, l'ère post-PC "ne signifie pas que les PC vont disparaître mais que les ordinateurs sont délaissés au profit d'autres terminaux informatique" comme le smartphone ou la tablette. Un point de vue partagé par Mark Margevicius, analyste chez Gardner, pour qui la décision de HP est surtout liée à une baisse des marges : "Nous ne sommes pas dans une ère où le PC est mort. Le marché du PC est stable mais c'est encore un énorme secteur."
    Avec cette décision, l'américain Hewlett-Packard suit ainsi les traces d'IBM. Le géant américain avait vendu sa division d'ordinateurs au chinois Lenovo en 2004. Depuis, IBM s'est concentré sur les serveurs, les logiciels et les services aux entreprises. "D'une certaine façon, ces deux opérations marquent la période de transition du 'hardware' (matériel) au 'software' (logiciel et services)", remarque Carmi Levi. "Même s'il est encore possible de construire une activité rentable en vendant du hardware, les retours, couplés à un potentiel de croissance limité, sont souvent insuffisants pour des investisseurs crispés."
    "La décision de HP confirme, si on avait encore besoin d'être convaincu, que la boîte en elle-même ne suffit plus", note Carmi Levi. "C'est la valeur du logiciel qui fait fonctionner la boîte, et les services fournis grâce à ce logiciel, qui sont désormais plus importants, et plus rentables."
    Quel impact aura un monde post-PC ?
    Maribel Lopez, ancienne consultante chez Forrest Research, estime que tout le débat autour de ce changement s'attarde uniquement sur une question : à quelle vitesse les smartphones et les tablettes remplaceront-ils les PC ?
    Pour la consultante, la vraie question est de savoir ce qui va réellement changer. Pour Maribel Lopez, "la réalité d'un monde post-PC est fondé sur la conviction que les services de 'cloud computing' [informatique dématérialisée dans le nuage, NDLR] vont combler les lacunes de puissance de stockage et de traitement des appareils mobiles."
    L'ère post-PC suppose donc une infrastructure "cloud" complètement sécurisée. Ce que promet, par exemple, un des acteurs mythiques du PC : Microsoft. Avec son prochain Windows 8, lancé le 26 octobre, la firme de Redmond proposera un système à l'architecture, au design et au fonctionnement semblable sur ordinateurs, tablettes et smartphones. Windows 8 et les futurs Word ou Excel (Office) fonctionneront en lien direct avec le cloud "et en toute sécurité !", assure Microsoft.

    L'ère post-PC, par Intuition :

    The poste pc

  • Salesforce

    Le célèbre fournisseur de solutions et applications collaboratives hébergées pour l'entreprise Salesfore vient d'annoncer le lancement prochain de "Chatterbox" : une solution de synchronisation multiplateforme permettant aux collaborateurs de l'entreprise de partager des fichiers de manière sécurisée dans l'entreprise, et en dehors. Attendue début 2013, elle se greffera à Salesforce Chatter, le réseau social pour l'entreprise développé par l'entreprise californienne.

    Adapter l'accessibilité et la facilité d'utilisation de Dropbox dans le contexte de l'entreprise, et ses exigences en matière de sécurité : c'est l'objectif de Salesforce avec le lancement de Chatterbox, un offre intégrée à l'espace de travail collaboratif et réseau social "Chatter".

    Dans un communiqué de presse publié ce matin, Salesforce présente dans les grandes lignes cette nouvelle solution, qui permettra de "gérer et partager/collaborarer sur des fichiers de manière sécurisée entre collaborateurs de l'entreprise, aussi simplement que l'on partage des photos sur Facebook."

    A l'image de Dropbox, Chatterbox permettra la synchronisation en temps réel des fichiers depuis tous types de terminaux, et aura vocation à être utilisée autant dans l'entreprise qu'en dehors, en permettant "aux clients, partenaires et employés d'interagir autour de fichiers directement dans leurs espaces de travail sur Salesforce Chatter"

    Le lancement de cette solution, ainsi que les tarifs, seront connus début 2013.

    Le communiqué de presse de Salesforce


  • top santé

    (Paris - Relax news) - Parmi les applications de la catégorie Forme et santé les plus téléchargées cette semaine sur iTunes, on trouve un jeu pour arrêter de fumer et une appli qui utilise la caméra de l'iPhone pour prendre son pouls.

    Voici une sélection par pays/région au 19 septembre.

    Brésil : Bodytech
    La chaîne de salles de sports brésiliennes BodyTech dispose désormais de son appli, qui aide les utilisateurs à trouver la salle la plus proche d'eux, de visualiser le calendrier des cours et d'accéder à des conseils de professionnels.
    http://itunes.apple.com/br/app/bodytech/id549237579?mt=8


    Etats-Unis : McRun
    La version mobile du McMillan Running Calculator permet de calculer la vitesse à laquelle on est capable de courir un 400 mètres ou un marathon. L'application suggère aussi des cadences d'entraînement à partir de son niveau de forme initial. 2,99$.
    http://itunes.apple.com/us/app/mcrun/id539181544?mt=8
    Belgique : Exsmokers iCoach
    Cette appli gratuite fait partie de la campagne lancée par la Commission Européenne intitulée "Les ex-fumeurs, rien ne les arrête". Elle propose au quotidien des conseils, des messages d'encouragement, des techniques, des tâches à exécuter, ainsi que des mini-tests.
    http://itunes.apple.com/be/app/exsmokers-icoach/id555364636?l=fr&mt=8


    Allemagne : Cardiio Touchless Camera Phone Sensor
    Cette application iPhone permet de mesurer son rythme cardiaque sans contact, seulement en utilisant une caméra de smartphone. 3,99€.
    http://itunes.apple.com/de/app/cardiio-touchless-camera-pulse/id542891434?mt=8

    Philippines : Target Weight for Adults
    Cette appli permet de surveiller son poids et son IMC au quotidien, pour se rapprocher des objectifs de perte de poids qu'on s'est fixé. 1,99$.
    http://itunes.apple.com/ph/app/target-weight-for-adults-personal/id338889966?mt=8

    France : Kwit - arrêter de fumer est un jeu
    Cette application ludique aide à arrêter de fumer en donnant des statistiques sur l'argent qu'on économise quand on raccroche et sur le nombre de cigarettes qu'on ne fume pas. 1,59€.
    http://itunes.apple.com/fr/app/kwit-arreter-fumer-est-jeu/id525441365?mt=8


  • NEW YORK - Facebook, qui cherche à améliorer ses sources de revenus, a annoncé jeudi qu'il ferait désormais payer les entreprises utilisant son site internet pour faire des offres commerciales à leurs fans, en les obligeant à acheter des publicités en même temps.

    Ces offres concernent par exemple des promotions offertes par des commerçants, et qui apparaissent dans le fil d'actualité des fans.

    Les entreprises pourront toujours faire des offres pour un budget minimal, mais des publicités doivent être créées pour que les gens voient les offres dans leur fil d'actualité, a indiqué une porte-parole de Facebook, précisant que le montant minimal était de 5 dollars par publicité.

    Les offres pourront être faites par toutes les pages comptant plus de 400 fans, et être assorties d'un code barre ou d'un code unique, ce qui permettra aux entreprises de mieux tracer les résultats de leurs campagnes et permettra aussi aux commerçants en ligne de les utiliser, détaille Facebook.

    Le réseau social affirme vouloir ainsi rendre les offres plus pertinentes pour les gens et leur impact plus mesurable pour les entreprises.

    Facebook revendiquait en moyenne 552 millions d'utilisateurs actifs par jour en juin, et 955 millions chaque mois. Mais les analystes s'interrogent sur sa capacité à monétiser cette base de membres, notamment pour en retirer des revenus publicitaires.

    Le PDG du groupe, Mark Zuckerberg, avait tenté de les rassurer la semaine dernière en promettant de gagner à l'avenir plus d'argent sur les mobiles, considérés comme un point faible du groupe.

    L'action Facebook a perdu environ la moitié de sa valeur depuis son entrée en fanfare sur le Nasdaq le 18 mai, à 38 dollars. Elle lâchait 1,76% à 22,88 dollars jeudi vers 15H20 GMT.