Plus de cent ans après sa première description, la maladie d'Alzheimer, qui dévaste les fonctions intellectuelles d'un nombre croissant de personnes dans le monde, reste un des défis les plus ardus à relever pour la recherche médicale.

La science fait de petits progrès contre cette maladie incurable, dont le nombre de victimes augmente avec le vieillissement des populations.

Un humain sur trois après 90 ans au maximum sera touché, résume le Pr Philippe Amouyel, spécialiste français, à la veille de la Journée mondiale d'Alzheimer, vendredi 21 septembre.

En 2010, quelque 35,6 millions de personnes étaient atteintes de démence, incluant les patients atteints d'Alzheimer, selon l'Alzheimer's Disease International (ADI). Ce nombre pourrait atteindre 65,7 millions en 2030 et 115,4 millions en 2050.

Mais revers et embûches jalonnent cette recherche qui demeure pourtant très active.

Dans cette bataille, les plaques séniles ou dépôts de peptides bêta-amyloïdes, caractéristiques de la maladie, représentent la principale cible des stratégies thérapeutiques en cours.

Ces stratégies viennent de se heurter à l'échec d'essais thérapeutiques en phase finale (phase 3), au point de soulever des interrogations parmi certains investisseurs et scientifiques sur la pertinence de continuer à miser sur cette voie.

Au chapitre de ces revers remarqués, l'abandon --faute d'avoir obtenu les améliorations espérées chez les patients-- par les laboratoires pharmaceutiques américains Pfizer et Johnson & Johnson d'essais en phase finale d'une nouvelle molécule censée combattre la maladie, le bapineuzumab --un anticorps ciblant la protéine bêta-amyloïde--, testée chez des patients atteints d'une forme légère ou modérée de la maladie.

Une molécule similaire (solanezumab) des laboratoires Eli Lilly n'a pas non plus réussi à convaincre, pour l'instant. Toutefois, la firme n'a pas jeté l'éponge et prévoit de détailler ses résultats en octobre, en suggérant que son produit pourrait agir sur les formes moins évoluées de la maladie.

Pour autant, faut-il jeter aux orties cette stratégie bêta-amyloïde contre laquelle d'autres molécules, des anticorps (immunisation passive), des vaccins (immunisation active), sont à l'étude?

On intervient peut-être à un stade trop avancé de la maladie pour obtenir des effets cliniques, avance Luc Buée (Inserm France).

Quand les premiers signes se manifestent, la maladie évolue déjà depuis 15 voire 20 ans, soulignent en effet les spécialistes.

L'absence de méthodes de diagnostic fiables à 100% freine le développement des essais. Pour autant, il paraît difficile d'envisager de traiter quelqu'un qui ne se plaint de rien.

Sinon que beaucoup de programmes américains s'adressent à des formes familiales --à fort risque-- précoces de la maladie pour tester des traitements, relève M. Buée.

Cependant, tout n'est pas négatif pour Reisa Sperling (Boston, Etats-Unis), qui a dirigé l'un des essais avec le bapineuzumab chez des sujets prédisposés à la maladie: les patients traités avaient une amélioration des images cérébrales au PET scan (tomographie par émission de positrons) avec moins de dépôts amyloïdes et une baisse du niveau de la protéine tau-phospho, marque des lésions neuronales, dans le liquide prélevé par ponction lombaire.

La dégénérescence neurofibrillaire, autre trait de la maladie, avec pour cible la protéine tau anormale (phosphorilée) qui s'accumule dans les neurones et propage leur destruction, fait partie des pistes explorées.

D'autres équipes se penchent sur les phénomènes d'inflammation ou s'intéressent à des facteurs de croissance neuroprotecteurs.

Le champ est vaste tant la maladie conserve bien des mystères.

Enfin, une étude française a confirmé que les extraits de gingko biloba n'étaient d'aucune utilité contre la maladie.

Source: www.romandie.com

(Paris - Relax news) - Le PDG de Twitter, Dick Costolo, a révélé dans l'émission de télévision Today (NBC) du mardi 18 septembre la modification immédiate des pages de profil des abonnés, sur le site et bientôt les applications mobiles.

Le principal changement est d'ordre visuel, avec l'apparition d'une image en-tête, plus imposante que l'habituel avatar, lequel se retrouve désormais en position centrée sur ce nouveau fond. Cette mise en page n'est pas sans rappeler les images de couvertures des profils Facebook ou Google+.
Pour mettre à jour son profil dès maintenant, il suffit de se rendre dans ses "paramètres", puis dans la section "thèmes" et de cliquer sur "changer l'en-tête". Pour le moment, ces modifications ne sont absolument pas imposées.
Cette nouvelle mise en page est accompagnée de l'apparition d'un nouvel onglet en haut de page, "Moi", qui synthétise l'ensemble de ses tweets, de ses favoris, de ses abonnements et abonnés, et enfin de ses listes.
Les applications mobiles Twitter seront prochainement mises à jour afin de prendre en charge ces nouveaux profils.

Pas évident de suivre les derniers changements de température, encore moins de les prévoir ! Si la météo ne vous inspire que peu confiance, laissez-vous séduire par Wezzoo. Ce site vous permet de connaître en temps réel la météo de n'importe quelle région du monde.

Comment ça marche ?

Wezzoo fonctionne sur la contribution des utilisateurs. Il s'agit d'un site collaboratif et communautaire, accessible à tous. Où que vous soyez, il vous est possible de partager les évènements climatiques de votre ville et d'en informer les autres utilisateurs. Et il s'agit d'un site fiable puisqu'il existe un contrôle des fausses informations météorologiques. Chaque utilisateur, s'il s'aperçoit que la météo donnée par un autre est fausse, peut le signaler et ainsi, annuler sa contribution.

Si le site Internet vous plaît, sachez qu'il existe également une application mobile baptisée « m.wezzo » ! A vous de jouer !

Découvrez le site

Que ce soit Windows PNX, LSD, Orkas, Sweet, Unicornis, UN V2, Mad Dog, Atrium, Syana, Windows Uranium, Windows Titanium, Windows XXL, Windows TKT, Windows Coccinelle, Windows Darklite, Windows XP Crazy, Windows XP³ Édition Maître, Windows XP édtion classique, Windows XP Ubuntu Édition, Windows Yoshi édition, Windows Yoshi Ultimate, Windows XP Catharsis, Windows XP Titan Revolution, Windows Trust 3, Gold, Windows XP Pure Power 3, Windows XP Ultimate Edition, Windows XP Disney Edition, Windows XP Crystal, Windows XP suite, Windows XP Fire, Windows Vista Ultimate par Mad Dog, Vista Black Edition, Vista premuim lite, Windows 7 Arium, Windows 7 Alchemiste, Windows 7 Titan, Windows 7 Alienware, Windows 7 Orion, Windows 7 Futuris, Windows 7 Élite, Windows 7 Extreme Edition, Windows 7 GT ou tout simplement un Windows XP/Vista auquel on a retiré le procédé d'activation de Windows, toutes ces versions sont des versions dites "piratées".
 

Pirater Windows, c'est quoi ?

Les utilisateurs ne doivent pas dire qu'ils piratent Windows mais qu'ils utilisent une version piratée. Les "pirates" partent d'un système d'exploitation légal qu'ils modifient à leur sauce, on y trouve souvent les modifications suivantes :

• Suppression ou contournement des systèmes antipiratage.
• Ajout/suppression de composants, de logiciels ou d'utilitaires.
• Modification de fichiers systèmes.

Pourquoi ne faut-il pas utiliser ces versions piratées ?

Légalité et peines encourues

En cherchant bien, vous vous apercevrez vite que Windows LSD, Windows PNX ou de nombreuses autres versions aux noms bizarres ne sont pas disponibles sur le site internet de Microsoft. Et pour cause, ces versions ne sont pas réalisées par Microsoft mais "fabriquées" par des "pirates" à partir d'une version légale de Windows !

Contrairement à certaines idées reçues et à ce que peuvent affirmer certains utilisateurs faisant preuve d'une grande naïveté, il n'est pas non plus légal d'utiliser une version piratée de Windows en croyant que la licence de votre Windows légal va faire l'affaire. Car même si Microsoft n'a pas perdu d'argent dans la mesure où vous avez payé votre licence, Windows étant un logiciel propriétaire, personne n'a le droit de le traficoter et d'en faire une quelconque modification. Certaines versions piratées vous demandent même d'entrer littéralement une clé d'activation valide, mais malgré cela, votre utilisation de Windows est illégale.

Évidemment Microsoft ne vend aucune licence pour ces systèmes d'exploitation. Or, une licence est valable pour un et un seul logiciel. Ainsi, je ne peux pas utiliser ma clé Windows XP Pro pour activer Windows XP Édition Familiale, et à l'identique, utiliser la licence de Windows XP pour activer une version piratée, hormis le fait que celle-ci n'est pas distribuée par Microsoft, est illégal.

Utiliser un système d'exploitation dérivé de Microsoft Windows est illégal et peut entraîner des poursuites judiciaires :

• En France, une personne physique est passible d'un emprisonnement de 2 ans maximum et d'une amende maximale de 150 000 €. Jusqu'alors, les peines allaient de 3 mois à 2 ans d'emprisonnement et de 1 000 à 20 000 € d'amende.
• Pour une personne morale :
  • www.microsoft.com/france/logicieloriginal/piratage/loi.mspx#EXF

Support

Avec une version piratée vous ne bénéficierez que de peu de supports, qu'ils soient gratuits (les forums Internet sont également soumis aux lois) ou payants (Microsoft).

Bien souvent, il vous sera impossible d'effectuer les mises à jour critiques de sécurité. Le système de protection Windows Genuine Advantage (WGA) limitera les mises à jour des Service Pack (SP non-installable sans une version légale), les services de Microsoft (téléchargement de logiciels supplémentaires ou mises à niveau pour des composants tels que Windows Media Player) et pourra éventuellement vous prévenir que votre version est piratée automatiquement même si aucune mise à niveau de logiciel n'est installée.
 

Spywares

Les fichiers systèmes étant modifiés, vous risquez de vous retrouver avec une machine infestée de malwares avant même de s'en être servi, juste en ayant installé votre système !
Et ce, même avec une bonne protection tenue à jour (Antivirus + Pare-feu + Mises-à-jour de sécurité + Antispyware) ; le fait d'utiliser une version piratée, vous expose au risque d'avoir un spyware totalement indétectable sur votre ordinateur !
En effet, en modifiant les fichiers systèmes (Librairie DLL et exécutables systèmes), il est relativement simple pour les "pirates" d'intégrer un spyware qui sera totalement invisible puisque le fonctionnement sera considéré comme normal par le système de protection à partir du moment où le spyware aura pris la place d'un fichier vital au système.

Les conséquences possibles pour vous si un spyware ou un rootkit est présent dans une version modifiée de Windows sont:

• Utilisation à votre insu de votre connexion internet et votre adresse IP (piratage d'autres ordinateurs, diffusion de virus,spam et images pédophiles). Comme c'est votre adresse IP qui est utilisée, c'est vous qui serez tenu pour responsable.
• Espionnage de tous les sites visités, tout ce qui est tapé au clavier (y compris les mots de passe, numéros de carte de crédit, noms, adresses...). (Risque d'usurpation d'identité).
• Vol de fichiers sur votre disque dur.
• Espionnage de votre écran (le pirate peut voir votre écran)
• Espionnage par webcam (il peut vous voir)

Ce ne sont que quelques exemples des risques encourus et ce ne sont pas des légendes urbaines. Tout ceci est non seulement techniquement possible, mais a déjà été fait. Voir cet article.
 

Options de démarrage

Ces versions étant modifiées, ces "modèles" de versions pirates -en tous les cas certaines- ont leurs options de démarrage modifiées. Ainsi, il est impossible de trouver l'option de réparation du système Windows installé lors du démarrage avec un CD de Windows pirate. Comment faire alors pour juste réparer sans tout réinstaller entièrement ?
 

Point de vue éthique

En plus de toutes les raisons évoquées dans les paragraphes précédents, une autre raison de ne pas utiliser une version piratée d'un logiciel est l'éthique. En effet Windows (comme de nombreux logiciels) est réalisé et commercialisé par une entreprise qui vit grâce aux bénéfices engendrés par son travail. Même si de plus en plus de personnes adoptent une attitude anti-Microsoft (en partie dûe au fait que Microsoft fait des marges considérables sur ces produits, abuse de sa position de quasi-monopole....) le fait de pirater un de ses produits n'est pas la solution.
 

La lutte antipiratage Microsoft

• www.microsoft.com/france/logicieloriginal/piratage/formes.mspx
• www.microsoft.com/france/logicieloriginal/actualite/copies-illegales/evite...
• www.microsoft.com/france/logicieloriginal/piratage/questions.mspx

Mon revendeur m'a vendu une version piratée ; ou Ma version de Windows est légale mais WGA m'affirme le contraire

WGA n'est pas infaillible, il arrive qu'il fasse des erreurs.
Il vous suffit de contacter Microsoft, vous aurez droit à un échange de votre version piratée contre une version légale.

• www.microsoft.com/genuine/default.mspx?displaylang=fr

msfrance@microsoft.com
 

Y a-t-il d'autres solutions moins coûteuses ?

Si vous n'aimez pas "l'état d'esprit" d'un constructeur automobile A, vous n'allez pas lui voler une voiture , mais vous vous tournerez volontiers vers le constructeur B ou C. Faites-en de même avec votre système d'exploitation !

Cela pour vous dire que si vous souhaitez mettre votre machine en règle dans le cas où elle tournerait avec un logiciel piraté, vous pouvez bien entendu acheter une licence, mais aussi vous tourner vers un système d'exploitation alternatif (soit gratuitement, soit pour quelques euros, tout dépend de vos envies). Les distributions Linux ne manquent pas et certaines (Mandriva, Ubuntu...) sont développées pour aider au maximum l'utilisateur Lambda qui craint de se lancer dans le monde des linuxiens.