• Google TV(Paris - Relax news) - Google TV n'arrive pas à s'imposer, mais la firme californienne plancherait sur la commande vocale pour essayer de se démarquer...  C'est ce que laisse penser une vidéo postée ce week-end, puis retirée.

    Une vidéo est apparue ce week-end sur la toile, sur laquelle Peter Sherman, le directeur marketing de Google TV, faisait une démonstration de différentes fonctionnalités vocales. Sont évoquées la recherche, l'activation d'applications ou tout simplement l'énonciation du programme ou de la chaîne qu'on désire regarder.
    La vidéo montrait aussi la connexion au moyen de tablettes, permettant aux utilisateurs de visionner du contenu en streaming sur leur téléviseur à partir d'autres appareils.
    Selon des articles lus sur BGR.com, la dernière version de la plateforme proposera par ailleurs une fonction de guide améliorée. Cette fonctionnalité, qui rappelle celle de YouTube, permet aux utilisateurs de présélectionner et commander du contenu pour un visionnage ultérieur, pendant qu'ils regardent leur émission, film ou clip.
    Le service Google TV est d'abord sorti aux Etats-Unis en 2010, mais est disponible depuis juillet 2012 au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Canada, en Australie, au Brésil et au Mexique.


  • émoticônes(Paris - Relax news) - Une étude américaine menée à la Rice University du Texas a montré que les femmes étaient deux fois plus susceptibles de recourir à ces symboles typographiques de type "smiley" que les hommes dans les SMS.

    Les chercheurs ont analysé les données de téléphones prêtés à des hommes et des femmes pendant six mois. Ils ont ainsi passé en revue les 124.000 SMS envoyés, sans que les participants ne connaissent le sujet de cette étude.

    "Nous pensons que nos recherches représentent la première étude réelle et longitudinale sur l'utilisation des émoticônes dans les SMS dans la vraie vie", a expliqué Philip Kortum, professeur assistant en psychologie à l'Université de Rice.

    L'étude a montré que 100% des participants recouraient aux émoticônes, mais avec parcimonie. Par exemple, seulement 4% des messages envoyés contenaient un ou plusieurs symboles.

    On utilise donc moins les émoticônes dans les SMS que dans les e-mails. "Il semblerait que l'envoi de SMS ne nécessite pas autant de contexte socio-émotionnel que d'autres modes de communication non-verbaux", a ajouté Kortum. "C'est peut-être lié à la simplicité des SMS, et au fait que c'est un mode de communication plus rapide, avec moins de pression que d'autres types de communication, comme les emails ou les blogs."

    L'étude confirme aussi des recherches précédentes qui avaient noté la propension des femmes à exprimer leurs émotions à l'écrit. Par contre, les chercheurs ont aussi montré que même si les femmes utilisaient plus souvent les émoticônes que les hommes, ces derniers recouraient à une plus grande diversité de symboles pour s'exprimer.


  • GmailLa barre de recherche de Gmail se dote de nouvelles fonctionnalités permettant de rechercher les contenus stockés sur différents services de Google. Celles-ci sont disponibles gratuitement et peuvent être testées dès à présent sur inscription, dans le cadre d'une phase d'essai.

    Outre la recherche d'archives dans Gmail, il est désormais possible de trouver, via la barre de recherche par mots-clés du service de messagerie, l'ensemble des contenus stockés sur différents espaces connectés à un compte Google : tels que les documents sur Google Drive (tableur, présentation, traitement de texte) et les informations renseignées dans Google Calendar.

    Le moteur de recherche également connecté aux services de Google
    Dans le cadre de cette expérimentation, Google intègre une nouvelle fonctionnalité à son moteur de recherche. En plus de la page de résultats classique, une fenêtre latérale présente les résultats provenant de différents services connectés (Google Drive, Gmail) en cas de correspondance avec la requête tapée par l'internaute.

    Ces nouvelles fonctionnalités peuvent être testées en s'inscrivant sur cette page

    L'annonce de Google sur le blog officiel de Gmail


  • Les règles de confidentialité de Google(AFP) - Les nouvelles règles de confidentialité de Google, mises en oeuvre au 1er mars, ne sont pas "en conformité" avec la législation européenne de protection des données personnelles et doivent être "modifiées", ont indiqué mardi les 27 autorités de protection européennes.

    Dans un courrier commun, elles demandent au géant de l'internet de "fournir une information plus claire et plus complète sur les données collectées" et leur "finalité" via huit recommandations pratiques, estimant que Google doit "prendre des mesures effectives et publiques pour se mettre en conformité rapidement".
    Invoquant une simplification de sa politique de confidentialité, Google a fusionné quelque soixante règles d'utilisation en une seule, regroupant les informations provenant de plusieurs de ses nombreux services, autrefois séparés, comme la messagerie électronique Gmail ou le réseau social Google+.
    En mai, au terme d'une première série d'analyses et d'échanges avec le géant de l'internet, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil, France) - mandatée par ses 26 homologues européens (le G29) pour analyser ces nouvelles règles - avait déjà indiqué que ces règles "ne respectaient pas les exigences de la Directive européenne sur la protection des données en termes d'information des personnes concernées".
    Après un deuxième round d'analyse, basé sur de nouvelles explications de Google, la Cnil a présenté mardi lors d'une conférence de presse à Paris ses conclusions au nom du G29.
    "Google n'a pas démontré qu'il s'engageait sur les principes de la Directive Informatique et Liberté", a indiqué la présidente de la Cnil, Isabelle Falque-Pierrotin, devant la presse. "Notre coopération avec Google a été moyenne. Il a repondu a nos questionnaires, néanmoins d'une facon relativement vague et imprécise", a-t-elle ajouté.
    "Google ne fournit pas suffisamment d'informations aux utilisateurs sur ses traitements de données personnelles" et "ne permet pas le contrôle par les utilisateurs de la combinaison de données entre ses nombreux services", résume la Cnil. Le géant de l'internet a "également refusé expressément de répondre sur une durée maximale de conservation des données", selon Mme Falque-Pierrotin.
    Dans le courrier adressé à Google, les autorités européennes de protection lui demandent de lui "indiquer comment et dans quel délai il va mettre à jour sa politique de confidentialité et ses pratiques pour intégrer ses recommandations".

    (©AFP / 16 octobre 2012 17h09)


  • google

    Si Google ne fait rien, "alors nous entrerons dans une phase contentieuse" menace la présidente de la Cnil, Isabelle Falque-Pierrotin.

    La Cnil a indiqué mardi 16 octobre que Google avait quelques mois pour mettre en conformité ses nouvelles règles de confidentialité avec la législation européenne de protection des données personnelles, avant d'entrer dans une "phase contentieuse".
    La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), mandatée par les 26 autres autorités de protection européennes (G29) - une première - a indiqué mardi que les nouvelles règles de confidentialité de Google, mises en oeuvre au 1er mars, ne sont pas "en conformité" avec la législation européenne de protection des données personnelles et doivent être "modifiées".
    "Prendre des sanctions contre Google"
    "Google a quelques mois, trois ou quatre mois, pour se mettre en conformité. S'il ne prend aucune mesure, alors nous entrerons dans une phase contentieuse", a indiqué la présidente de la Cnil, Isabelle Falque-Pierrotin, lors d'une conférence de presse à Paris.
    "Nous avons privilégié le dialogue jusqu'à maintenant, et nous demandons des ajustements", a-t-elle assuré, ajoutant que si le géant américain "ne prend aucune mesure, alors nous passerons en phase contentieuse".
    "Les autorités de plusieurs pays pourraient alors prendre des sanctions contre Google, et cette démarche serait facilitée par notre position commune".
    Cependant, "ces sanctions seraient prises par pays, et pas au niveau européen", a-t-elle ajouté.
    Google ne précise pas combien il compte d'utilisateurs dans l'Europe des 27, mais selon le président du G29, également président de l'autorité néerlandaise, Jakob Kohstamm, ces mesures pourraient toucher "la vie de centaines de millions de clients de Google".

     

    Source:  NouvelObs.com le mardi 16 octobre 2012