• catastrophes naturelles de SimCity

    (Paris - Relax news) - Les fans de la série SimCity ont enfin quelques "catastrophes" à se mettre sous la dent : les éléments se déchaînent et les aliens se montrent un tantinet envahissants dans cette bande-annonce.

    Comme dans les chapitres précédents, le prochain SimCity, annoncé pour février 2013, mettra les aptitudes de gestion urbaine des joueurs à l'épreuve.
    Un webcast s'attarde sur la complexité de la tâche à accomplir et des nombreux paramètres à prendre en compte pour construire une ville durable. Les villes les mieux conçues ne sont cependant pas à l'abri d'un désastre et les joueurs auront de multiples occasions de se rappeler les joies de la destruction de leurs châteaux et autres pâtés dans les bacs à sable de leurs tendres années.
    Dans le nouvel épisode du jeu, séismes, pluies de météorites, tornades et invasions extra-terrestres sont au rendez-vous.
    SimCity avait ouvert la porte à la concurrence en s'absentant pendant neuf ans, à commencer par les séries Tropico et Anno, le titre Facebook du catalogue Zynga CityVille, directement inspiré de SimCity, et les jeux de stratégie The Settlers et Age of Empires, auxquels on peut jouer gratuitement.
    SimCity a également une version Facebook depuis juin 2012 : SimCity Social. Il semblerait d'ailleurs que divers éléments de cette version sociale seront intégrés au jeu complet.
    "Même si vous jouez en mode solo, vous pourrez profiter des nos fonctionnalités 'SimCity World', comme les tableaux des meilleurs scorse et les défis", précise l'assistant de production assistant Jason Haber dans le webcast du développeur Maxis du 10 octobre.
    Bande-annonce "SimCity Disaster Trailer" : youtu.be/RodekwSyo40
    Site officiel : simcity.com


  • la Cnil

    L'autorité de protection de la vie privée sur internet critique la politique du géant du web et menace de le mettre à l'amende.

    "L'informatique doit respecter l'identité humaine, les droits de l'homme, la vie privée et les libertés." La maxime de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) résonne, ce mardi 16 octobre, après que l'autorité ait vertement critiqué le géant du web Google.
    Après sept mois d'enquête mandatée par les 26 autres autorités de protection européennes (dites G29), la Cnil conclut que Google n'est pas "en conformité avec la législation européenne" en matière de protection de la vie privée. Elle critique en particulier la très large collecte de données personnelles sur les utilisateurs, mais aussi la combinaison de ces données à travers les différents services de Google et le manque d'information des utilisateurs quant aux finalités.
    "Google a trois ou quatre mois, pour se mettre en conformité. S'il ne prend aucune mesure, alors nous entrerons dans une phase contentieuse", lance la présidente de la Cnil, Isabelle Falque-Pierrotin. Phase contentieuse qui pourrait aller jusqu'à la mise à l'amende du géant américain.
    Contacté, le responsable de protection des données chez Google, Peter Fleischer, affirme "avoir reçu le rapport et [être] en train d'en prendre connaissance". Il balaie déjà les critiques : "nos politiques de confidentialité respectent la loi européenne. Notre nouvelle politique de confidentialité [adopté en mars] démontre notre engagement continu pour protéger les informations de nos utilisateurs et créer des produits de qualité. "
    "Pas de garanties suffisantes pour la vie privée"
    Google a mis en place, début mars, une charte de protection de la vie privée unique pour l'ensemble des services, dans un objectif "de simplification et de lisibilité". Or, selon la Cnil et le G29, cette nouvelle politique entraîne un flou. "Il est par exemple impossible, pour un utilisateur d'Android, de savoir si lors d'une recherche internet son numéro de téléphone est collecté ou non", souligne Gwendal Legrand, expert informatique de la Cnil. "Selon les conditions, c'est possible, mais on ne sait pas si c'est effectif."
    Isabelle Falque-Pierrotin enfonce le clou : "Cette nouvelle politique, plus elliptique, autorise Google à une collecte plus importante de données et à une combinaison plus importante entre celles-ci. Et ce dispositif n'offre pas de garanties suffisantes pour la protection de la vie privée des internautes."
    La Cnil continue ainsi de dénoncer un lien de plus en plus fort entre toutes les données collectées et mises en commun par les différents services de la galaxie Google. Pire, de nombreux sites utilisent des options de gestion créées par l'Américain, qui vont également collecter des informations sur les internautes même si ceux-ci font tout pour fuir les services Google. "Nous ne sommes pas opposés à une combinaison des données, mais il faut une base légale. Or, au moins quatre finalités de Google n'ont pas de base légale", souligne Isabelle Falque-Pierrotin.
    Autre critique : la durée de conservation des données. "Google a refusé de répondre sur cette question ainsi que de s'engager", rapporte la présidente de la Cnil. "On ne sait pas exactement combien de temps chaque donnée est conservée. Par exemple, le cookie reste plus de 18 mois." La Cnil assène :
    Google est un acteur majeur et incontournable. Il doit s'engager à respecter les principes d'informatique et de libertés, et pas seulement en façade."
    L'autorité et le G29 menacent désormais Google. Si le géant ne se met pas en conformité d'ici trois à quatre mois, alors "nous entrerons dans un climat contentieux".
    Chacune des 27 autorités européennes pourra alors, en fonction de ses pouvoirs nationaux, infliger des sanctions pécuniaires au géant américain. En 2009, la Cnil avait par exemple condamné le service Street View à 100.000 euros d'amende.

     

    Source: NouvelObs.com le mardi 16 octobre 2012


  • Xbox Music

    Le directeur marketing de Xbox revient sur la stratégie de Microsoft avec son nouveau service de musique en ligne qui vient concurrencer l'iTunes d'Apple, mais aussi Deezer et Spotify.

    Microsoft vient chatouiller Apple sur la musique en ligne. Le géant du logiciel lance, ce mardi 16 octobre, son nouveau Xbox Music sur sa console de jeux Xbox 360 qui permet de télécharger et d'écouter en streaming des millions de titres. Ce service sera par la suite intégré à Windows 8, lancé le 26 octobre, et aux smartphones Windows Phone. Microsoft marche ainsi sur les plates-bandes à la fois de l'iTunes d'Apple et des Deezer et Spotify. Le point avec David Dufour, directeur marketing de Xbox France.
    Comment définiriez-vous Xbox Music ?
    - Il s'agit d'une combinaison d'options de services musicaux. Aujourd'hui, quand on aime la musique, on se retrouve confronté à une multitude d'appareils qui ne communiquent pas bien entre eux. Du coup, on jongle entre des services non unifiés pour une expérience fragmentée et complexe. Xbox Music répond à ce besoin de service tout-en-un, et offre plusieurs alternatives.
    La première propose du streaming de musique sur les PC et tablettes tactiles sous Windows 8, avec des publicités toutes les 15-20 minutes. C'est une offre découverte gratuite et illimité pendant 6 mois, ensuite le streaming se voit restreint à 10 heures par mois.
    La seconde option, baptisée "Music Pass", permet un streaming illimité sans publicité ou le téléchargement de morceaux sur PC et tablettes sous Windows 8, sur smartphone et sur Xbox 360, pour 9,99 euros par mois ou 99,99 euros par an. Enfin, nous conserverons une boutique de chansons à télécharger de manière classique.
    Quelle est la stratégie de Microsoft ?
    - Xbox devient une marque de référence chez Microsoft pour le divertissement. La marque est sortie de son cadre naturel, sans pour autant perdre son ADN lié au jeu vidéo, pour s'étendre à la musique, à la vidéo. Microsoft a voulu capitaliser sur une succes story.
    Au-delà, le service vient chatouiller les concurrents iTunes, Deezer et Spotify.
    - Microsoft souhaitait surtout implémenter la marque Xbox au cœur du divertissement, quel que soit l'écran. Nous voulons créer une expérience d'unité avec une interconnexion parfaite entre les appareils. Le tout en tenant la comparaison avec les concurrents cités, voire en les dépassant.
    En tout cas, vous frappez fort avec 30 millions de titres.
    - Précisons qu'il s'agit de 30 millions de chansons au niveau mondial. Toutes ne seront pas disponibles partout. Sur le continent nord-américain, il y aura par exemple 18 millions de morceaux. En France, le chiffre n'est pas encore officiel, mais ce sera à parité avec ce qui se propose chez nos concurrents.
    Quelle est la prochaine étape pour Xbox ?
    - Rendez-vous le 22 octobre pour une mise à jour majeure de la console et la présentation du service Smart Glass.
    Imaginez-vous qu'un jour Windows prenne le nom de Xbox ?
    - [Rires] Non. Les deux marques cohabiteront ensemble.
    Xbox Music vise-t-il à faire oublier l'échec du baladeur Zune ?
    - Le service a été développé sur les bases de Zune. Donc, cela nous a servi d'apprentissage. Nous ne le renions pas.
    Xbox Music n'arrive-t-il pas trop tard par rapport aux concurrents ?
    - Certes, nous sommes en retard. Mais, grâce à l'expérience Zune, nous pouvons proposer un service qui tient la route. Xbox Music offre une ergonomie et une expérience unique. Nous sommes mieux que nos concurrents, tant par l'univers visuel que par la richesse d'informations annexes sur les artistes [biographies, photos... accompagnent les morceaux, NDLR].
    Des cartes pré-payées pour s'abonner seront-elles vendues dans des grandes surfaces ou des boutiques spécialisées ?
    - Effectivement, nous réfléchissons à ce genre de carte. Pour l'instant, seul la souscription en ligne sera disponible. Mais à l'avenir, elles devraient arriver...
    Interview de David Dufour, directeur marketing Xbox France, par Boris Manenti, le 15 octobre.

     

    Source: NouvelObs.com le mardi 16 octobre 2012


  • Aaron Paul(Paris - Relax news) - Aaron Paul prendra le volant dans l'adaptation du jeu vidéo Need for Speed, révèle Entertainment Weekly.

    Doublement salué aux Emmy Awards pour sa prestation dans la série Breaking Bad, Aaron Paul passe la première vers le 7e Art. L'acteur, âgé de 33 ans, mènera la distribution de l'adaptation grand écran de Need for Speed, saga vidéoludique consacrée aux courses automobiles illégales, apparue en 1994 sur 3DO.
    Aaron Paul passera d'accro aux substances illicites à fou de vitesse dans cette production DreamWorks, attendue le 7 février 2014 dans les salles nord-américaines. Scott Waugh (Act of Valor) dirigera le film à partir de début 2013.


  • Un véhicule amphibie(Paris - Relax news) - Les fabricants du Quadski présentent leur nouveau joujou motorisé comme le premier véhicule amphibie capable de dépasser les 70km/h sur terre et sur l'eau.

    James Bond en avait un, plusieurs forces armées en sont dotées, mais c'est la première fois qu'un véhicule de ce type est potentiellement à la portée du consommateur moyen.
    Les cinéphiles se rappelleront sans doute cette scène de L'Espion qui m'aimait, où James Bond, campé par Roger Moore, quitte un ponton dans son véhicule pour voguer sur les eaux de la Méditerranée. Si les véhicules amphibies sont commercialisés depuis les années 60, dans la vraie vie, la transition entre les deux éléments n'est malheureusement pas aussi fluide.
    Le Suisse Rinspeed constitue désormais une exception sur ce terrain : ses modèles sQuba et Splash boat/hydrofoil semblent tous droits sortis d'un film d'espionnage. Hélas, il faut aussi avoir les moyens d'un studio hollywoodien pour en profiter.
    Gibbs Sport Amphibians pourrait bien avoir lancé un pavé flottant dans la mare avec son nouveau modèle. Le Quadski, qui s'inspire d'un quad plutôt que d'une Lotus, peut atteindre 72km/h sur terre comme sur mer, ce qui en fait un tout-terrain dans le plus pur sens du terme. En appuyant sur un bouton, les roues du Quadski se rétractent en cinq secondes, et il suffit d'appuyer sur un autre bouton pour les faire réapparaître.
    Le "serial entrepreneur" Gibbs n'en est pas à son premier tour d'essai, puisque son premier véhicule amphibie remonte à 1996, et il a investi la bagatelle de 200 millions de dollars dans la construction de 9 prototypes pour mettre au point le Quadski.
    Révélé lundi à la presse, le Quadski sera en vente aux Etats-Unis avant la fin de l'année, pour 40.000$, en attendant sa commercialisation dans le reste du monde avant la fin 2014.
    Voir le Quadski en action : youtu.be/giFfPtgO3V0