• (Paris - Relax news) - Les nouvelles conditions d'utilisation du service de partage de photos Instagram laisseraient la porte ouverte à de multiples dérives. Selon de nombreux sites spécialisés, elles permettraient à la société d'utiliser à des fins commerciales n'importe quel cliché posté sur son réseau, gratuitement et sans le moindre accord une fois ces nouveaux textes validés par l'internaute.

    Ces prochaines conditions d'utilisation, qui entreront en vigueur le 16 janvier 2013, prévoient un partage des données personnelles de ses utilisateurs (noms d'utilisateurs, photos, commentaires) avec Facebook, qui l'a racheté un peu plus tôt dans l'année pour un milliard de dollars.
    Ces modifications ne changeront en rien le service offert et au mode de fonctionnement de l'application.
    Officiellement, ce type de pratique est censé protéger l'utilisateur et combattre le spam. Officieusement il pourrait également servir à se constituer une formidable banque de données et d'images.


  • Le fomalwares ultra-rapideurnisseur de solutions de sécurité BitDefender vient de lancer « 60-Second Virus Scanner, » une application de bureau gratuite qui permet de réaliser un scan éclair de son PC à la recherche de logiciels malveillants susceptibles d'infecter le système.

    « 60-Second Virus Scanner » repose sur une technologie d'analyse dans le cloud et permet de réaliser rapidement un diagnostic de sécurité de son PC. L'objectif: « signaler les menaces actives et vérifier que le logiciel antivirus installé sur le PC d'un l'utilisateur le maintient à l'abri des attaques » précise BitDefender.

    L'application, compatible Windows 8 (et XP, Vista et 7) , lance automatiquement tous les processus d'analyse en tâche de fond, ce qui évite donc à l'utilisateur d'interrompre ses activités sur son PC.

    Télécharger Bitdefender 60-Second Virus Scanner


  • Twitter et le spécialiste twitterde la mesure d'audience Nielsen annoncent le lancement aux Etats-Unis de "Nielsen Twitter TV Rating", un nouvel outil permettant de mesurer la popularité des émissions de télévision, sur la base de l'engagement des membres de la plateforme de microblogging.

    Ce nouvel outil de mesure devrait être disponible à l'automne 2013 aux Etats-Unis : l'objectif, apporter un indicateur supplémentaire à la mesure d'audience et aux scores de popularité des émissions télévisées, en mesurant l'engagement et les conversations sociales sur Twitter.

    Une nouvelle grille de lecture pour les annonceurs ?
    Quel intérêt ? Fournir aux chaînes de télévision et aux annonceurs des données chiffrées en temps réel permettant de décrypter l'activité sociale autour des émissions de télévision.

    Ce nouvel indicateur devrait ainsi aider à mieux évaluer le succès et l'impact des émissions de télévision, à l'heure où Twitter est de plus en plus utilisé comme outil de communication avec les téléspectateurs, à travers l'utilisation des "hashtags" notamment.

    Le communiqué de presse de Nielsen


  • PalaiseauL'éditeur de logiciels de management et de gestion des ressources humaines en mode SaaS Eurécia annonce le lancement de "Pack Zen", une offre packagée conçue pour "simplifier et automatiser les principaux processus RH administratifs des TPE et PME".

    Cet offre de solutions hébergées et donc accessibles exclusivement via internet regroupe l'ensemble des modules proposés par l'éditeur pour permettre la "gestion des congés et absences, des notes de frais, des temps et activités (GTA), du planning ressources et du dossier RH des collaborateurs."

    Eurécia précise que cette offre s'interface avec les différents logiciels de paie, comptabilité, facturation, gestion de la relation client, etc., disponibles (Sage, ADP, CCmx, Cegid, SAP...).

    Côté tarifs (jusqu'au 17 février 2013), l'offre est disponible :

    • Pour les entreprises de moins de 30 salariés : 600 euros HT de mise en service, puis abonnement mensuel de 65 euros HT.
    • Entreprises de 30 à 50 salariés : 1.350 euros HT de mise en service, puis abonnement mensuel de 135 euros HT.



    Le Pack Zen d'Eurécia


  • Main artificielle

    (AFP) - Des chercheurs ont mis au point un nouveau type de "bras-robot" commandé par la pensée, qui a permis à une femme paralysée d'avoir un degré de contrôle et de liberté de mouvements de la main artificielle jamais inégalé jusque là avec cette sorte de prothèses.

    Cette recherche représente une avancée dans le développement des prothèses de membre contrôlées par la pensée, qui pourraient un jour équiper des patients paralysés (accidents, attaque cérébrale...) ou amputés, selon les chercheurs américains dont les travaux sont publiés lundi par la revue médicale britannique The Lancet.
    La recherche s'intéresse de longue date à cette interface cerveau-machine, qui, par l'intermédiaire d'implants de fines électrodes, permet de détecter les signaux électriques émis par la partie du cerveau associée aux mouvements.
    Ces signaux sont transcrits en langage ou code informatique, afin d'actionner la prothèse artificielle.
    Par rapport à d'autres systèmes, l'équipe a pris "une approche complètement différente" en utilisant un modèle d'algorithme (programme) informatique qui imite étroitement la façon dont un cerveau sain contrôle les mouvements des membres, selon Andrew Schwartz, professeur de neurobiologie de l'Université de Pittsburgh (Pennsylvanie).
    Résultat, une main robotisée qui peut être bougée plus précisément et plus naturellement que lors de précédentes tentatives, souligne le chercheur.
    En février dernier, l'équipe de Pittsburgh a implanté deux réseaux de microélectrodes dans le cortex moteur gauche d'une femme de 52 ans devenue tétraplégique (paralysée des quatre membres) en raison d'une maladie neurodégénérative diagnostiquée treize ans auparavant.
    Deux semaines après l'opération, la prothèse a été connectée et la patiente s'est lancée dans 14 semaines d'entraînement (saisir des objets, empiler des cônes, etc..), mais dès le 2e jour, elle a pu bouger la main artificielle par la pensée.
    A la fin, elle a pu accomplir des tâches avec un taux de succès atteignant les 91,6%, et plus rapidement qu'au début du test.
    Prochaines étapes : intégrer des capteurs permettant par exemple de déceler le froid et le chaud, et recourir à une connexion sans fil, type wi-fi, pour relier le cerveau à la prothèse.
    Dans la revue, Grégoire Courtine de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne qualifie cette interface cerveau-machine de "remarquable réussite" technologique et biomédicale. Même s'il reste encore plein de problèmes à résoudre, ce type de systèmes approche à grand pas de la réalisation clinique, selon lui.