•  

    Word modifie ma saisie contre mon gré.

    Il arrive que les options de correction automatique, dans Word, soient trop efficaces en se déclenchant sans qu'on le souhaite. C'est par exemple le cas lorsqu'on a besoin d'inclure des guillemets anglais "comme ceci" dans un texte où les autres guillemets restent français « comme cela ».
     

    Annulation ponctuelle.

    Procédé


    Il suffit alors, aussitôt qu'on a tapé la touche [3], d'activer la commande Annuler,
    et le caractère guillemet change d'apparence.
     

    Explication


    Quand on a enfoncé la touche [3], Word a interprété le signal du clavier , puis consulté le dictionnaire des corrections automatiques et remplacé " par «

    Activer la commande Annuler va annihiler la dernière action de Word, donc ce remplacement ; et on se retrouve avec le guillemet non modifié.
     

    Autres applications


    Cette technique consistant à sélectionner Annuler dès qu'on a effectué une saisie permet par exemple de remplacer ® par (R), ou ½ par 1/2, ou encore € par (E).

    De même Word met en exposant ère quand on saisit 1ère ; si on veut conserver ère au même niveau, on fait immédiatement Annuler.
     

    Raccourci

    • Le raccourci-clavier de la commande Annuler est [ctrl+Z].

    Annulation permanente.

    Mode d'emploi

    Il suffit d'utiliser Options/Vérification/Options de correction automatique.

    Pour plus de précisions, il vous est recommandé de suivre les instructions de lenicois2 dans Abréviations
     

    Autres logiciels

    Tous les logiciels de Microsoft Office ont exactement la même option de Vérification et utilisent le même dictionnaire de Correction automatique.
    Une modification effectuée depuis Word se répercute donc dans tous les fichiers Microsoft lus sur votre ordinateur : Excel, PowerPoint, Publisher, et même Access, Project et Outlook !
    Donc tout ce qui précède est valable également dans ces logiciels.


  • Des robots créés à partir de déchets recyclés

    Les vieux objets ou les chutes métalliques ne finissent pas nécessairement à la décharge du coin. Certains artistes débrouillards les récupèrent pour leur donner une seconde vie. Andrea Petrachi les envoie même dans le futur en leur faisant endosser le rôle de robots.

    Ces robots un peu étranges sont issus de l'assemblage de divers matériaux de récupération. Figurines en plastiques, pièces de métal ou appareils électroniques ; tout est bon à prendre pour leur donner cette touche futuriste.

    Le travail d'Andrea Petrachi, à admirer en intégralité sur son site internet, est dévoilé par thisiscolossal.com. Parmi les divers réalisations de l'artiste, on trouve ces sculptures contemporaines mais futuristes réalisées pour trois fois rien. En effet, tout provient des poubelles. 

    Les robots sont donc composés d'éléments plus divers les uns que les autres. L'un est fait à partir d'un vieux microscope de lycée ou d'une caméra vidéo en panne quand l'autre a pour visage un appareil photo désuet et abandonné. Plus simplement, certains prennent l'aspect d'enfants ou d'animaux à l'aide de petites figurines en plastiques retrouvées.

    Les réalisations d'Andrea Petrachi reflètent cette impression et ce besoin de seconde chance tout en donnant corps à de petits êtres plus attachants les uns que les autres car ils rappellent aisément le célèbre et mignon Wall-E.

     

    Reuters


  • Une chirurgienne parcourt la ville en vélo d'enfant pour opérer en urgence

    Chirurgienne en Louisiane, Catherine Baucom devait opérer d'urgence une patiente. Bloquée dans les embouteillages, elle a alors emprunté le vélo de la fille d'une amie pour parcourir plus rapidement la distance ! 

    Un embouteillage monstre et une urgence médicale ne font pas bon ménage. Pour essayer tant bien que mal d'arriver à l'hôpital le plus vite possible pour opérer une patiente, la chirurgienne Catherine Baucom, qui exerce dans un hôpital de Louisiane, aux Etats-Unis, a traversé la semaine dernière la ville en vélo rose de princesse.

    Le Daily Mail rapporte que le vélo était celui d'une petite fille de sept ans, enfant de l'un des collègue et ami de notre dévouée chirurgienne. Lorsqu'elle a sonné à sa porte ce matin là pour lui emprunter un vélo en urgence, il n' a rien eu de mieux à lui proposer. Même le casque était customisé rose bonbon. "Avoir quatre princesses Disney dans un coeur et sur fond rose était parfait pour bien commencer ma journée" rit Catherine Baucom.

    La jeune femme est ensuite partie dans les rues pour couvrir la distance qui la séparait de l'hôpital et a parcouru plusieurs rues... avant de rencontrer des policiers. Après avoir été mis en au courant de la situation, ils ont décidé de l'escorter jusqu'à sa destination pour lui faire gagner du temps, la faisant arriver après seulement 30 minutes de trajet, un record pour un jour d'embouteillage.

    Aujourd'hui, les collègues de ne sont pas surpris Catherine Baucom outre mesure par son acte, elle qui est connue pour son dévouement à ses patients ."Mes patientes viennent souvent de loin pour être prise en charge. Elles sont également angoissées pour diverses raisons et je dois être disponible pour elles", confie cette dernière pour expliquer son dévouement. En souvenir de cette journée, la fillette de son ami lui a offert son casque.

     

    Reuters


  • Elle arrive d’Asie et cette pathologie totalement inconnue vient de faire l’objet d’une première étude épidémiologique. Ce qui fait peur : les symptômes sont similaires au sida.

    Elle n’a pas même pas encore de nom mais pour la désigner, l’équipe de chercheurs thaïlandais, taïwanais et les Américains du laboratoire des allergies et des maladies infectieuses du Maryland décrivent ses « symptômes similaires à ceux du sida ». Cette maladie inconnue, une déficience immunitaire soudaine d’adultes qui ne sont pourtant pas porteurs du virus du sida, vient de faire l’objet d’une étude épidémiologique aux résultats significatifs : elle recense une centaine de patients en six mois, pour la plupart d’origine asiatique et âgés d’une cinquantaine d’années, dont l’organisme semble s’être brutalement mis à détruire ses propres interférons, un anticorps qui nous protège contre certains virus, bactéries et autres parasites, voire contre des cellules tumorales.

    Les interférons sont d’ailleurs utilisés dans le traitement de maladies virales telles que l’hépatite C, le VIH ainsi qu’en cancérologie.
    En tout cas, pour le docteur Sarah Brown, principale auteur du compte rendu publié cette semaine dans le « New England Journal of Medecine », cette maladie étrangement localisée sur le continent asiatique a fait assurément de bien plus nombreuses victimes que la centaine ciblée pendant six mois d’observation. Les premiers cas remonteraient en réalité à 2004, et des centaines, peut-être des milliers d’autres, ont pu faire les frais de « méprises de diagnostic », et seraient passés pour des tuberculoses, ainsi qu’avance la scientifique. La faute à leurs symptômes, tellement semblables à ceux de l’infection pulmonaire beaucoup plus répandue que cette maladie sans nom ni cause. La grande différence, comme l’ont néanmoins constaté les chercheurs, c’est que « l’inconnue » n’est pas contagieuse.
    La maladie inconnue s’annonce-t-elle comme un fléau comparable au sida, dont elle reprend aussi les symptômes principaux ? Répondre est l’un des défis des spécialistes de la virologie et de l’immunologie, que ce genre de découverte intrigue.
    « C’est un enjeu passionnant, et ce n’est pas la première maladie auto-immune dont l’on ne comprend pas l’origine! », s’enthousiasme le professeur Didier Raoult, directeur de l’unité de recherche en maladies infectieuses et tropicales émergentes (Urmite) de Marseille, en rappelant « l’un des exemples les plus connus, le lupus », (NDLR : dont le nom vient des lésions dermatologiques qu’elle provoque au visage, en forme de masque de loup) qui a fait l’objet de dizaines de milliers de travaux et qui reste un mystère. « L’étude est pour nous le début d’une histoire, estime le professeur Raoult. Pour l’instant, nous avons la description de quelque chose, alors on va tâcher d’évaluer sa gravité, son ampleur, son mode de déclenchement, de savoir si elle est spécifique à cette région d’Asie ou si on la rencontre partout dans le monde, de savoir si elle a fait des morts, etc. Et comme en plus, il y a des chances que l’on puisse y trouver un traitement, c’est fantastique », prédit-il. Dans son unité, une épidémiologique va être menée. « Nous allons mener des tests auprès de personnes montrant les mêmes symptômes et non porteurs du VIH, pour savoir s’il y a des cas en France », explique Didier Raoult.
    Identifier la cause de la maladie inconnue reste plus aléatoire. « Chaque époque a ses peurs, souligne le scientifique, et lorsqu’on ne peut expliquer quelque chose, dans notre société où l’on veut tout expliquer, on fait souvent de ces peurs des causes de maladies. » Or, rien ne permet de mettre en cause l’environnement, la génétique ou tout autre facteur.

    Source: www.romandie.com


  • RYAD - Le géant pétrolier saoudien Aramco a annoncé dans la nuit de dimanche à lundi avoir rétabli son système informatique, affecté par une cyberattaque d'envergure le 15 août.

    Dans un communiqué, la compagnie étatique indique que tous les systèmes informatiques internes, affectés le 15 août par un virus d'origine externe et qui a touché environ 30.000 postes de travail, ont été rétablis.

    La compagnie a assuré que les opérations d'exploration et de production n'avaient pas été affectées par ce piratage, et que les systèmes de vente, de distribution, de données informatiques et autres étaient intacts.

    Nous avons immédiatement pris les mesures nécessaires pour faire face à cette attaque, et nos multiples systèmes de protection ont contribué à réduire les effets de ces déplorables menaces informatiques, a affirmé le PDG d'Aramco, Khalid Al-Falih.

    Il a souligné que Saudi Aramco n'est pas la première compagnie à être visée par de telles attaques informatiques et qu'elle allait renforcer ses systèmes pour se protéger contre de nouvelles cyberattaques.

    Le PDG de la compagnie a ajouté qu'Aramco continuait à enquêter pour déterminer les causes de l'incident et la partie qui est en responsable.

    Des pirates informatiques avaient affirmé sur des sites web être responsables de l'attaque.

    L'Arabie saoudite est le premier exportateur mondial de brut, et sa production est actuellement de quelque 10 millions de barils par jour.