• iphone6

    Selon une étude réalisée par AT Internet, la fréquentation moyenne des sites web a reculé de 1% en 2012 : une trajectoire inverse au trafic des applications mobiles qui a progressé de 50% sur l'ensemble de l'année.

    L'étude d'AT Internet a été réalisée du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2012 sur un périmètre de 3 553 sites web et 136 applications. Principal enseignement : la fréquentation des sites web français est en baisse, malgré un sursaut au dernier trimestre, une baisse dont les grands bénéficiaires sont les applications mobiles qui, du fait de l'explosion de l'utilisation des smartphones et des tablettes tactiles, sont en très nette progression selon l'étude, avec une augmentation moyenne de 50% de leur trafic sur l'ensemble de l'année.

    Changement du mode de consommation online
    Deux autres indicateurs reflètent la bonne santé des applications mobiles : près de 30% des applis ont vu leur trafic plus que doubler en un an, tandis que la moitié des applications ont enregistré une hausse supérieure à 48,6%.

    "On assiste à un profond changement du mode de consommation online : nouveaux supports, nouveaux contenus avec, clairement, la mobilité en toile de fond... Dans ce contexte, plus que jamais, les sites web se doivent de rester attractifs et de gagner en performance" analyse AT Internet.

     

    Source: www.commentcamarche.net


  • Sur Internet, filles et garçons

    (AFP) - Entre filles et garçons, l'"égalité prime" dans de nombreuses activités culturelles comme l'usage des nouvelles technologies, des médias et surtout de l'Internet, selon l'étude annuelle "Junior connect" de l'Ipsos publiée jeudi.

    Ces activités sont "déterminées par l'âge bien plus que par le genre", affirme l'institut en s'appuyant sur un sondage en ligne réalisé de mai à novembre 2012 auprès de 7.000 jeunes de moins de 20 ans, représentatifs d'une population de 15 millions de personnes en France.
    Il en est ainsi des pratiques culturelles et de la fréquentation des médias, comme aller au cinéma, lire des livres ou des magazines, regarder la télévision ou encore surfer sur internet.
    Plus de 80% des jeunes de 7 à 12 ans lisent régulièrement des magazines, quel que soit leur sexe. Idem pour 90% des 13-19 ans, filles ou garçons, qui possèdent un téléphone ou les 55% qui utilisent un smartphone dans cette tranche d'âge, selon Ipsos.
    Chez les moins de 20 ans, 90% se connectent tous les jours à internet, et là encore la connexion ou les usages sur l'internet sont plus affaire d'âge que de sexe.
    Pour les plus jeunes, le web sert surtout au divertissement (jeux, musique, vidéos) et aux devoirs. Au-delà de 12 ans, les activités se démultiplient, mais restent parfaitement mixtes.
    "Comme si l'effet combiné de l'âge et des nouvelles technologies tendait à effacer progressivement la frontière entre les genres", relève l'Ipsos.
    Cette étude annuelle décrit les comportements et les aspirations des enfants et des adolescents. Elle mesure la fréquentation de tous les médias s'adressant aux jeunes de moins de 20 ans et analyse leur relation à tous les médias (presse, télévision, internet, radio, cinéma) et tous les supports (PC, smartphones, tablettes, consoles...).
    Junior Connect analyse également leurs habitudes d'achat, leurs relations aux marques et à la publicité, pour tous les acteurs des médias et des nouvelles technologies, les annonceurs et leurs régies publicitaires.

    Source: www.commentcamarche.net


  • Apple trace les utilisateurs d'iPhone

    (Paris - Relax news) - Pour la première année, la fréquentation moyenne des sites Web en France est en recul en 2012 (-0,9% en un an), au profit des applications mobiles, en plein essor.

    En parallèle de cette baisse, les applications mobiles connaissent donc de leur côté une très forte croissance, avec des évolutions mensuelles de leur fréquentation qui dépassent allègrement les 50%. Sur le seul mois de décembre, la fréquentation des sites Web baisse de 0,9% tandis que celle des applications progresse de 73,9%.
    Selon AT Internet, près de 30% des applications ont vu leur trafic plus que doubler en un an. Ceci est bien évidemment dû à de nouveaux modes de consommation via de nouveaux supports avec les fortes ventes de smartphones et de tablettes en France.
    Sur l'ensemble de l'année, seul le dernier trimestre affiche une légère progression de la fréquentation des sites Web (+1,7%).
    Cette étude a été réalisée du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2012 sur un périmètre de 3.553 sites web et 136 applications audités par AT Internet.

     

    Source: www.commentcamarche.net

     


  • Kim Dotcom s'est fait une grosse frayeur lundi en Nouvelle-Zélande lorsque son hélicoptère a effectué un atterrissage d'urgence en raison d'un problème mécanique. Le fondateur de Megaupload a tenu en haleine les 280'000 abonnés à son compte Twitter avec le récit détaillé de l'incident.

    "Ce n'est pas une blague. Atterrissage d'urgence au milieu de nulle part", a écrit l'extravagant Kim Schmitz, qui a changé son nom en Dotcom. "Je serai en retard pour le dîner, chérie. La jauge de carburant est descendue à zéro".

    Ses messages étaient accompagnés de photographies le montrant au pied de l'appareil en rase campagne néo-zélandais. Selon un autre message, le pilote a identifié un "câble débranché" et l'hélicoptère a pu repartir.

    Copies piratées


    Kim Dotcom, de nationalité allemande, a été arrêté fin janvier 2011 par la police néo-zélandaise à la demande des autorités américaines qui veulent le juger pour les profits illégaux, selon elles, tirés de Megaupload.

    Les Etats-Unis accusent les responsables du site d'avoir empoché 175 millions de dollars (162 millions de francs) et causé un préjudice de 500 millions aux détenteurs des droits, en proposant des copies piratées de films de cinéma, de programmes télévisés et d'autres contenus.

    Kim Dotcom est actuellement en liberté sous caution en attendant l'examen de la demande d'extradition américaine prévue en août.

     

    Source: www.romandie.com


  • google

    BRUXELLES - Google va devoir changer la présentation de ses résultats de recherche en Europe car il détourne du trafic vers ses propres moteurs de recherche, avertit le commissaire européen à la Concurrence Joaquin Almunia jeudi, dans la version en ligne du Financial Times.

    Ce qui pose problème est la manière dont (Google) présente ses propres services et non son algorithme, a précisé M. Almunia, qui a prévenu qu'il serait obligé de prendre des sanctions contre Google si le groupe ne lui fait pas de propositions satisfaisantes d'ici la fin du mois.

    Cette position contraste avec la récente décision des autorités américaines de blanchir Google dans une enquête analogue. La Commission européenne avait affirmé que la décision de la FTC, la Commission fédérale du commerce, gardienne de la concurrence aux Etats-Unis, n'aurait pas d'implication directe dans sa propre enquête.

    Interrogé par l'AFP, un porte-parole de Google s'est abstenu de commenter la teneur de l'article du FT. Nous continuons à coopérer avec la Commission européenne, s'est-il contenté de déclarer.

    La Commission a ouvert une enquête contre Google pour abus de position dominante en novembre 2010, à la suite de plusieurs plaintes contre le moteur de recherche, dont une émanant du portail internet Ciao, racheté par Microsoft en 2008. D'autres plaintes s'y sont ajoutées, dont une de Microsoft en mars 2011.

    Elle reproche en particulier à Google de mettre en avant dans ses liens ses propres moteurs de recherche verticale, c'est-à-dire spécialisés dans un domaine précis comme les voyages ou les restaurants, afin de leur assurer un traitement préférentiel par rapport aux autres moteurs de recherche spécialisée.

    Google avait proposé des remèdes à la Commission en juillet, laissant augurer une clôture rapide du dossier. Mais les services de M. Almunia avaient finalement décidé de poursuivre leur enquête jusqu'à ce que les solutions proposées soient jugées satisfaisantes.

    En décembre, après s'être entretenu à Bruxelles avec le patron de Google, Eric Schmidt, M. Almunia avait souligné que les divergences avaient été substantiellement réduites entre le géant d'internet et la Commission, et avait dit attendre du groupe des engagements détaillés en janvier 2013 de la part de Google.

    Si la Commission conclut que les propositions de Google sont de nature à remédier aux entraves à la concurrence, elle pourra clore le dossier. Dans le cas contraire, elle pourrait infliger des sanctions atteignant jusqu'à 10% du chiffre d'affaires de Google.

    Google contrôle environ 70% du marché de la recherche sur internet et de la publicité qui va avec, et pourrait exercer encore plus de pouvoir dans le secteur mobile grâce à son système d'exploitation Android, utilisé par deux smartphones sur trois.


    (©AFP / 10 janvier 2013 23h25)





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